Æquographe est un mot inventé, « nous voulions faire un jeu visuel avec la lettre Æ, cela renvoie notamment au mot ex-æquo ».
Des artistes à la une
La revue, tirée à 250 exemplaires, est dans une enveloppe transparente. Elle comprend un cahier par artiste et l’éditorial de la revue. Chaque artiste a écrit un petit texte sur lui avec cinq dates clés, puis une œuvre centrale est mise en valeur et quatre autres sont présentées. « Nous avons pensé la revue comme une exposition amovible, avec un format détachable et manipulable. Chacun est libre de la lire dans le sens qu’il désire, nous souhaitons que chacun y porte un regard plus attentif », continue Alice.
Les artistes participants à Æquographe sont bénévoles tout comme l’équipe qui a mis en page et communique autour de la revue.
Ils espèrent pouvoir organiser des évènements et des expositions itinérantes grâce à son format. « Nous avons une réelle envie de continuer notre travail autour de la mise en avant de l’image, de l’édition papier, de poursuivre notre évolution et que les lecteurs se l'approprient », lance Alice.
Créer une émulsion créative
Par ailleurs, l’association Pôle d’Arts souhaite mettre en place des ateliers autour de la microédition, la fabrication de papier. « Cela permettra aux participants de découvrir les arts visuels et également de trouver une dynamique économique pour éditer les prochains numéros d’Æquographe ».
Pour le lancement de la revue une soirée est organisée le 20 avril dès 18h et jusque tard dans la nuit à la Brasserie Communale de Marseille. Au programme : lecture, représentation de danse, DJ set et rencontres avec les artistes et des petits plats autour d’une exposition.
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